Author: Ludi Vojago

Greetings from Brussels – first workshop abroad

(English below)

Et cette fois, l’article sera en anglais ! Il faut bien varier les plaisirs… Pour résumer,  le premier atelier à Bruxelles s’est bien déroulé et tout le monde était heureux. Traduction à venir… plus tard.

I spent one week travelling in various places. The idea was to both take a break and meet people, both friends and people involved in games. It was quite fruitful : I met Francine and Nicolas from the Compagnie Caracol, working on games mostly connected to cities patrimoine, as well as Sylvain, working on a cooperative game based on superheroes, and Léo, an old friend of mine working on Honey rush, a game starring bees.

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Bees. Bees everyhere.

 

And then I crossed the border.

Hello Brussels, hello... Lady gaga stage ?

Hello Brussels, hello… Lady gaga stage ?

This week, I work with the association Let’s play together. Based in Bruxelles, they organize several events around board games such as game evenings, conferences and so on. So they invited me to come and set up several workshops with various people.

The first workshop took place in the Flamingo bar. 4 people were here, creating games around beers. I used the new workshop version developped in Besançon : they played and analyzed Dobble and Zombie dice, added new mechanics then started to create their own prototype.

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Everything went really smoothly. They picked the cards “Logic”, “Draft” and “Cubes” and I chosed the theme “Cactus”. They ended up creating a prototype and even testing it for a while. I was curious how a 4 people workshop could take work, but I ended up being pleasently surprised !

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This is a game about water, cactus and drugs. Each player has to find drug cubes while digging in the desert. They move their pawn, roll a dice and pick as much items in a bag as the dice shew. In a bag, there is water, sand, drug and scorpios. Picking sand doesn’t serve any purpose, scorpios stop your picking operation, drug is the winning item (5 durg cubes = winning) and water allow you to move further. Each move costs you 1 water, digging also costs 1 water, each time you consume water you put it again in the bag. There’s also another bag you can only access if you dig on a cactus. Digging on a cactus uses 2 water. Also, there’s a maya temple warping you back home but granting you an extra dice roll.

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What’s next ?

The next workshop will take place thursday evening in the Table food and games restaurant, rue de l’enseignement. Feel free to come !

(Actually, another one will take place today evening, but it’s quite crowded already !!)

Besançon, partie 2 – évolution de l’atelier

Français ci-dessous.

Once again, an article solely in French ! Blast it ! You see, I still have trouble to find time to simultaniously set up workshops, meet people, travel and update my blog. So you have my deepest apologies about this, but non-French speakers will have to wait some extra time to see the workshop reports about Besançon…

Souvenez vous : il y a quelques jours, je vous ai parlé du premier atelier à Besançon. Cependant, il y en a eu 4 autres ! Laissez moi donc vous présenter le déroulement de ces ateliers et les évolutions successives de la méthode de conception.

 

Mardi 9, soir – Doubs you play

L’association Doubs you play propose des soirées jeux de société (et jeux de figurine). En les contactant largement en amont, ils m’ont proposé de passer lors de la soirée du 9 pour proposer un atelier. Il se trouve que j’étais déjà venu quelques fois à cette association lors de mon séjour à Besançon : une bonne ambiance, des joueurs très sympathiques… j’étais heureux de pouvoir y retourner dans un cadre légèrement différent.

L’atelier a duré 2h30 et était articulé selon le même schéma que l’après-midi :

– Explication du projet et des Mécanicartes;

– Quelques règles d’or à respecter autant que possible;

– Prenez des cartes et du matériel et amusez vous en groupe !

2 trinômes se sont formés, auxquels se sont greffés quelques curieux au fil de la création. Le thème choisi était Bal Populaire.

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Les deux groupes ont abouti à des prototypes de jeux rapidement testés. Un groupe a été amené à repartir de zéro deux fois avant d’aboutir à un concept satisfaisant toute l’équipe, l’autre groupe a quant à lui été confronté à des différences de vision au sein de l’équipe. Le jeu doit-il partir dans une direction A ou B ?

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Jeu : basé sur l’échange et la mémorisation. Chaque joueur est un barman et commence avec 5 jetons de ressources choisis aléatoirement représentant des ingrédients pour cocktail. Au milieu se trouvent 8 personnages affublés de 5 ingrédients, correspondant à leur cocktail préféré.  Les 8 personnes sont masquées après 1mn, puis les joueurs s’échangent des ressources pour disposer de ce qui les arrange le plus pour faire les cocktails de leur choix pour les personnes au milieu. De plis, chaque joieur possède une “cible” particulière pour qui les cocktails comptent double.

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Jeu : troc secret de cartes. Le but du jeu est d’embaucher des tueur pour assassiner les adversaires. Des cartes sont secrètement posées au milieu de la table, ce sont des tueurs et des armes. Il faut acheter un tueur et son arme correspondante pour tuer quelqu’un. Pour acheter une arme, on pioche des ressources, et lorsqu’on pense avoir assez de ressources pour acheter une carte, on tente un achat en la choisissant. On ne peut faire qu’une action par tour.

 

Mercredi 10 – Comité de quartier St Ferjeux – Structure d’insertion

L’atelier se déroulait sur toute une journée, matinée puis après-midi. Il était intégré dans le cadre d’une formation aux savoirs de base de salariés en structure d’insertion : je travaillais donc avec Irène, (super) formatrice pour employés de chantier majoritairement. Les participants à l’atelier – 9 le matin, 7 l’après-midi – avaient donc une obligation de présence.

Cet atelier était très étonnant car dans un cadre très inhabituel au vu de mes expériences personnelles. L’atelier va-t-il être mal perçu dans le cadre d’assimilation de savoirs de base ? Bien que les vertus éducatives du jeu me semblent réelles, ce n’est pas nécessairement la perception de tous : le jeu n’est-il pas une activité pour enfants ? Comment va-t-on acquérir des savoirs avec le jeu ? A première vue, un défi corsé.

Heureusement, il me semble que la matinée dédiée au jeu a globalement bien fonctionné. Les participants ont pu jouer à Dobble, Tête de Linotte, Pile poil, Wink et Skull & Roses. J’ai essayé d’en profiter pour souligner les vertus pédagogiques qui me semblaient émerger du design de ces jeux, véritable préambule à l’utilisation des Mécanicartes, catégorie “compétences joueurs”.

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L’après-midi fut, il faut bien le dire, beaucoup plus compliquée.

La présentation initiale de l’atelier – jouer à des jeux, présenter les cartes, donner des cartes et coacher en direct – n’a pas porté ses fruits. Les participants étaient perdus et n’arrivaient pas à créer quelque chose, si bien qu’au bout d’1h30, nous avons choisi de changer le format de l’atelier pour en faire quelque chose de plus raccord avec la formation : reprendre des jeux existants et définir les conditions de victoire, puis en écrire les règles. Ici, les jeux en question étaient deux jeux de cartes : un jeu de combinaisons et le jeu du “Président”.

Cet atelier en demi-teinte m’a permis de remettre en question la progression de l’atelier et d’en faire quelque chose de plus didactique pour les prochaines sessions. En tout cas, l’expérience était très enrichissante.

 

Vendredi 12 – MJC Palente Orchamps

Un atelier en comité très réduit, puisqu’il comportait 2 participants, notamment Evelyne des Rêveurs de Vésontio ayant déjà participé à l’atelier du mardi matin à Trivial’Compost. Heureusement, il s’agissait donc du moment idéal pour tester des améliorations dans la progression de l’atelier.

L’atelier s’est déroulé en 3h. Cette fois, nous avons joué à Dobble et Zombie Dice. Ce choix de jeu peut paraître particulier, en grande partie car il n’inclut pas Wink et Tête de Linotte, qui sont pourtant les deux jeux que je m’engage à laisser à chaque série d’ateliers, mais il me permettait de tester plus facilement un exercice : l’utilisation pratique des Mécanicartes, à savoir qu’après une rapide partie de chaque jeu, les participants doivent réussir à le catégoriser grâce aux Mécanicartes.

Sans donner la solution de l’énigme, Dobble et Zombie Dice ont la qualité d’être assez opposés…

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La seconde amélioration de l’atelier consiste à être créatif avec les Mécanicartes. En effet, c’est leur vocation primaire et finale : utiliser 3 mécanicartes pour créer un jeu innovant. Mais au lieu d’attaquer directement la conception aux 3 cartes, il me semblait intéressant de mieux appréhender les cartes en proposant d’intégrer une seule carte à un jeu.

Par exemple : “comment ajouter du Bluff à Dobble ?”. Pas facile ? C’est l’idée…

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Puis nous repassons sur le déroulement classique de l’atelier : 3 cartes, un thème. Le thème était cette fois Pyramide.

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Jeu de lettres avec des dés. Chaque joueur lance à son tour une série de 6 dés avec des lettres dessus. Il doit alors trouver un mot utilisant le plus de letrrs possibles, de 1 à 6. Il place alors les dés sur un étage de pyramide correspondant, bloquant ainsi l’étage pour l’autre joueur. Plus de lettres = plus de points.

Au final, je pense que cette nouvelle adaptation de l’atelier fonctionne bien et permet de se poser des questions pratiques de design précises. Reste à voir si le lien avec la conception de jeu innovant est réellement assuré : d’autres ateliers de test seront nécessaires.

 

Samedi 13 – Rêveurs de Vésontio

Voici donc le dernier atelier de la semaine, avec l’association de rôlistes Les rêveurs de Vésontio. Parmi ces joueurs de jeux en tout genre, on retrouve Evelyne Brule qui m’a permis d’assurer cette série d’ateliers à Besançon.

Cette fois, l’atelier a duré 2h30 et était constitué de 2 binômes. Les ateliers précédents, à l’exception de celui de vendredi, étaient toujours organisés en trinome : le format binôme était donc une partie de la nouvelle expérimentation. Les exercices initiaux, similaires à la veille, étaient toutefois en groupe collectif afin de créer une meilleure émulation.

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Le thème était cette fois “Pince à linge”. Le public était constitué de joueurs très expérimentés : la création s’est donc déroulée très rapidement malgré sa durée limitée. Le prototypage a débuté 15mn après la distribution des cartes, ce qui est beaucoup moins que la durée habituelle !

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Le premier jeu : chaque joueur dispose d’une pile de vêtements plus ou moins grands à étendre sur une grille de linge. Le but du jeu est d’étendre asez de linge pour reconstituer un personnage complet. Poser le linge sur une case déclenche une action spéciale de la case.

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Deuxième jeu : un jeu de piste et de bluff. Chaque joueur dispose un pion sur un plateau façon jeu de l’oie et dispose de cartes possédant un nombre de pinces à linge colorées, de même couleur que les cases du plateau. Il faut se débarrasser de ses cartes en annonçant la couleur des cartes que l’on pose secrètement devant soi quand on tombe sur une case, mais il est possible de bluffer et donc d’appeler au bluff.

 

A l’issue de cet atelier, j’ai donc remis un exemplaire de Wink, un exemplaire de Tête de linotte et un deck de Mécanicartes aux Rêveurs. A eux maintenant de continuer à créer !!

Next steps : Chalon, Lille and Brussels

(Français ci-dessous)

Before continuing the report of the latest workshops in Besançon (and translating the first part...), I’d like to share with you my schedule for the 2 incoming weeks. If some of you know people potentially interested by board games, could it be playing or creating, around the places I’m reaching, feel free to share this article with them.

And if you, dear reader, would like to attend an extra workshop, play with me or simply share a coffee with me, just contact me 😉

15th – Stopping near Chalon sur Saône

Near my dear village of Saint-remy les chevreuse passes a small river named the Yvette. Passing through various cities and landscapes, this river is full of hidden meanings and local historical events. So an association named Animakt decided to create a game about the river, and this game is going to be designed by Francine and Nicolas, living near Chalon sur Saône.

That’s why, despite the fact that Chalon isn’t exactly on my way to Brussels, I’m going to stop there for one or two days : to meet fellow designers and exchange thoughts about life, games and rivers. I’m planning to leave on tuesday but I’m quite flexible, so get in touch with me if you are in the surroundings !

17th – 21st : Boulogne sur mer, Amiens, Lille

One of the best part about travelling in one’s home country is that you have high chances to travel near the new living place of old friends. This is the case with Amiens, Boulogne sur mer and Lille where I wanna meet various friends. Those 3 cities are not far away, so I don’t have any particular order in mind – I just want to be in Lille the 21st to be ready to reach Brussels.

Tho I’m not sure about Amiens and Boulogne, Lille happens to be a great place when it comes to board games. The festival Ludi nord takes place there every year, and various board games authors and editors live or work around here. I hope to meet some people, and maybe set up an improvized workshop at some point.

22nd – 28th : Brussels

Serious business starts again. Brussels is my second major stop for workshops and several will take place in the city during the week. I’m not sure yet where and when, but be sure you guys will be informed as soon as I have more information.

The workshops will be in association with Let’s play together, a group animating various activities connected to games in various places in Belgium. They do a lot of amazing stuff so feel free to spread the word about those 🙂

Avant de continuer la description des ateliers sur Besancon, je voudrais partager avec mon emploi du temps des deux semaines à venir. Si certains d’entre vous connaissent des gens intéressés pour créer ou jouer à des jeux de société, n’hésitez pas à faire passer le message.

Quant à vous chers lecteurs, si vous souhaitez jouer avec moi, participer à un atelier en petit comité ou bien simplement partager un café n’hésitez pas à me contacter 😉

15th – Stopping near Chalon sur Saône

Près du village de Saint-Rémy-lès-Chevreuse où j’habite passe une petite rivière nommée l’Yvette. Serpentant au travers de plusieurs villes et de paysages variés, cette rivière est pleine de significations et connectée à différents événements historiques locaux. Par conséquent, une association nommé Animakt a décidé de créer un jeu autour de la rivière, et ce jeu on va être conçu par Francine Nicolas, habitant près de Chalon-sur-Saône.

C’est pourquoi, bien que Chalon-sur-Saône ne soit pas exactement sur la route pour Bruxelles, je vais m’arrêter là bas pour un ou deux jours. L’objectif est de rencontrer Francine et Nicolas et de discuter avec eux de jeux, de rivières et de la vie en général. Je prévois de quitter Chalon le mardi mais je suis très flexible, donc n’hésitez pas à me contacter si vous êtes dans les environs !

17th – 21st : Boulogne sur mer, Amiens, Lille

Une des plus grands avantages du voyage dans son pays natal est de pouvoir passer chez de vieux amis ayant déménagé et se trouvant comme par enchantement sur notre route. C’est le cas pour les villes d’Amiens, Boulogne-sur-Mer et Lille où je vais rencontrer divers amis. Comme ces trois ville s ne sont pas très éloignées, je n’ai pas encore d’itinéraire précis – je souhaite juste être à Lille le 21 pour être prêt à atteindre Bruxelles.

Je ne sais pas pour Amiens et Boulogne, mais Lille se trouve être une place intéressante en ce qui concerne les jeux de société. Le festival Ludinord se tient ici tous les ans et de nombreux éditeurs et auteurs de jeux de société sont basées ou bien travaillent dans les environs. J’espère rencontrer diverses personnes et peut-être créer un atelier improvisé durant mon séjour à Lille.

22nd – 28th : Brussels

Et c’est reparti pour un tour ! Bruxelles est mon deuxième arrêt majeur dans le voyage et une série d’ateliers aura lieu dans la ville pendant la semaine. Je ne sais pas encore avec précision où et quand, mais soyez sûr que je vous tiendrai au courant dès que je possède plus d’informations.

Les ateliers seront proposés en partenariat avec avec Let’s play together, une association animant différentes activités autour des jeux dans différents lieux autour de la Belgique, particulièrement Bruxelles. Ils font une tonne de choses très intéressantes, alors n’hésitez pas à jeter un coup d’oeil à leur site internet 🙂

Besançon, partie 1

(This time, I’m going to write in French, then translate later !)
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Tout d’abord, je vous donne rendez-vous vendredi 12 septembre à la MJC Palente de 9h à 12h, et samedi 13 septembre toute la journée, pour les deux derniers ateliers bisontins !

Le bapteme du feu, partie 2

Un premier atelier a déjà eu lieu à Cartes sur tables, alors pourquoi parler de Baptême du feu ?… Tout simplement parce qu’il s’agissait là des deux premiers ateliers complets, en 2*3h ! Une toute nouvelle expérience avec son lot de doutes et de joies.

Au programme, un atelier le mardi 9 avec l’association Trivial’Compost,  un atelier en soirée avec l’association Doubs you play, et enfin un atelier le mercredi 10 au sein du comité de quartier Saint ferjeux dans le cadre d’un chantier de réinsertion. Comment tout cela s’est il déroulé ? Quels enseignements en tirer pour la suite ? Est-ce que créer des jeux, c’est cool ? Je vous raconte tout ça !

Mardi 9 – Trivial’Compost

Cette association bisontine a pour mission de travailler autour du compostage urbain. Sensibilisation, installation et suivi de composteurs, stands de présentation de l’association,  éco citoyenneté : un programme riche et varié… rien d’étonnant donc à ce que les membres de Trivial’Compost aient déjà créé des jeux autour de ces problématiques et souhaitent continuer dans cete démarche. Un public motivé et convaincu des vertus ludiques du jeu donc !

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Certains membres ont pratiqué le jeu de rôle et d’autres jouent de temps en temps à des jeux tels que Dobble ou Oui seigneur des ténèbres : même si aucun n’est joueur régulier de Seasons ou Horreur à Arkham, les participants étaient très à l’aise avec les règles de Dobble, Wink et Tête de Linotte, ce qui m’a permis de sortir en fin de matinée The Resistance, jeu d’identités secrètes (un peu comme les Loups garous de Thiercelieux) un peu plus avancé. Selon la théorie de l’atelier, voici donx les participants pleins de références ludiques, fin prêts pour la création. Voyons ce qu’il en est !

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L’après midi de création a débuté par une présentation éclair des Batisseurs, de Hanabi et de Sauna wars. Les deux premiers pour montrer des mécaniques de gestion de ressources et de collaboration, potentiellement utiles pour le type de jeux voulant être conçus par les membres de l’association; Sauna wars afin de montrer à quoi ressemble un prototype en cours de conception.

Puis un petit rappel de la trinité des constituants des jeux de société, bases desquelles les concepteurs peuvent partir initialement : le thème, les mécanismes et le matériel. Enfin, un petit rappel des 3 règles utiles à garder en tête lors de la conception :

1) Ne pas apporter trop de soin au graphisme dans un premier temps;

2) Rester le plus simple possible;

3) Tester le jeu dès que l’occasion se présente !

Puis une distribution de Mécanicartes aux groupes, et roulez jeunesse.

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La phase de création/test s’est déroulée sur 2h15 pour 3 groupes de 3 participants. En plus des membres de l’association se trouvaient Guillaume, ex collègue de Besançon,  et Evelyne des Rêveurs de Vesontio, qui a très efficacement trouvé les structures pour le déroulement des ateliers à Besançon (merci !). Le thème était, à la demande des participants, éco citoyenneté.

Les trois groupes ont créé des jeux avec plus ou moins d’aisance. Au contraire des ateliers passés, les cartes se sont révélées assez bloquantes : la plupart des participants a préféré s’en éloigner autant que possible. Est-ce du à un changement de public ou à une façon différente d’aborder l’atelier ? Une analyse mérite d’être faite pour les ateliers suivants.

Il était amusant de voir que les trois groupes ont adopté des façons de travailler aussi différentes que les lieux choisis : brainstorming bouillonant dans le local arrière de l’association, réflexion progressive dans la salle centrale, exploration large des possibles à l’extérieur.

 

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Finalement, chaque groupe a abouti à un prototype testable.

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Jeu coopératif. Chaque tour, les joueurs disposent d’un pot commun de jetons et de 4 déchets par joueur (selon 4 types). Chaque joueur peut investir dans une solution de traitement collective ou individuelle pour se débarrasser des déchets : le collectif coûte plus cher mais est plus durable et traite davantage de déchets. A la fin du tour de chaque joueur, tout déchet non traité va dans un incinérateur. Plus l’incinérateur est rempli, plus les joueurs risquent d’attraper une maladie incapacitante (on lance un dé). Les maladies se soignent grâce au pot commun.

Si tous les joueurs sont malades, la partie est perdue. Si lors d’un tour aucun déchet n’est mis dans l’incinérateur,  la partie est gagnée.

 

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Jeu coopératif de gestion d’énergie. Chaque joueur dispose de cartes d’amélioration de domicile afin que ce dernier consomme moins d’eau, moins d’électricité et pollue moins. A la fin de chaque tour, toute pollution fait évoluer un curseur vers la perte de la partie (pollution rejetée) ou son gain (pollution évitée). Un système de marché entre joueurs était en chantier afin d’échanger et optimiser les installations et ressources.

 

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Jeu de hasard compétitif. Chaque joueur tire une carte augmentant ou diminuant son empreinte carbone (vélo = +1, 4×4 = +4…), et remplit sa partie du monde avec des jetons en fonction. Le premier ayant rempli son monde a perdu. Certaines cartes permettent d’échanger ses cartes avec des adversaires.

 

A suivre prochainement !

First steps in Auxerre

(français dans les jours à venir)

First of all, allow me to tell you that I’m alive, safe and sound ! The beginning of my trip went pretty well. Hitchhiking from Paris to Auxerre was fairly easy, thanks to the great spot suggested in the very handy hitchwiki : the gas station of Lisses, in the southern surburb. Directly asking people if they were going to Auxerre was something new for me, as I’m mostly used to the basic thumbing technique – put yourself on the side of the road, raise your thumb and wait for somebody to stop. I discovered that asking people is more effective, often safer and actually more fun as you are proactive.

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Reaching the station was almost more difficult...

The city of Auxerre is also nice. The center is full of big churches, including the gorgeous Saint Étienne cathedral and the Saint Germain abbaye, and is on the left side of the Yonne river, which is always a good thing for a city. Also, you can see a lot of planks on the front side of the house, giving the city a taste of good old fashion.

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The fine Saint Nicolas plaza

But hey, I’m not travelling for tourism purposes, right ? The first workshop took place in the local board games shop, Cartes sur table. Apart from Nicolas, and Elise, the very friendly shopkeepers (and fellow players), 3 people were there, which was a good number as a group of 3 is better than 2 groups of 2 in my opinion.

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The stage is ready

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The workshop lasted 2h30. The mechanicards picked by the attendees were “Dice”, “Material positioning” and “Narration”. My epic hand crafted theme was “Potato”. In the end, the game prototype involved potato plantations with crops buying, potatoes selling and market flux (at least the idea of stocks was there !).

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The plantation of a player

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Potatoes factory and random events list

What now ?

I’m currently in Besançon to present the trip to local people before the incoming workshops ! I shall write something after those workshops, in something like 1 week. Meanwhile, if you want me to write about something specific about the trip, feel free to send me an email !

D-1 ! Where are the first workshops ?

(Français ci-dessous)

My backpack is ready, I’m cleaning my flat, working on some paper presentation of the project for easier hitchhiking… The departure approaches. To be honest, I still don’t realize I’m leaving tomorrow for 6 months of board games and adventure, tho it gets more real each hour passing.

Anyway, for you guys who wanna join the workshops, now’s a good time to tell you where they will take place. I’ll assume the attendees at those particular workshops are mostly French speakers, so I will switch to French. If you are interested in doing a workshop in English, I’ll be in Auxerre then Besançon, so feel free to contact me !


Je vais donc supposer que si vous venez participer à ces ateliers, c’est très probablement parce que vous êtes francophone, et vous faire la présentation en Français !

3 Septembre : Auxerre, Cartes sur table

Le tout premier atelier aura lieu à Auxerre, à la boutique Cartes sur Table à partir de 15h. Une après-midi de création au programme !

6 September : Besançon, CRIJ

Retrouvez moi à partir de 13h30 au CRIJ de Besançon, 27 rue de la République, dans le cadre du lancement de la carte jeune. A cette occasion, pas d’atelier de conception de jeu de société, mais plutôt une animation autour des jeux Tête de Linotte, Wink et Skull & Roses, ainsi qu’une présentation du projet. Allez, venez, ça va être sympa.

9 -> 13th of September : Besançon, in various places

Et les choses sérieuses commencent maintenant, avec pas moins de 7 ateliers !

Mardi 9

Toute la journée (9h – 12h pour jouer, 14h -17h pour créer) à l’association Trivial’Compost. Venez !

En soirée à l’association de joueurs Doubs you play. 34 chemin de Vieilley. A partir de 20h. D’ailleurs, si vous êtes bisontin, venez jouer chez eux, ils sont cool.

Mercredi 10

Toute la journée avec le Comité de quartier Rosemont St-Ferjeux – Attention : complet !!

Jeudi 11

Toute la journée (9h – 12h pour jouer, 14h -17h pour créer) à la Maison de Velotte.

Vendredi 12

Toute la journée (9h – 12h pour jouer, 14h -17h pour créer) à la MJC Palente Orchamps. De plus, comme mardi soir, à l’association Doubs you play.

Samedi 13

Toute la journée (9h – 12h pour jouer, 14h -17h pour créer) à la maison de quartier Montrapon. C’est le samedi : aucune excuse !

 

N’hésitez pas à passer le mot ! 🙂

D-4 : Travel bags & prototyping material

Today was one of the most important days of any trip : the packing day !

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Yaaaay !

I’m not sure anybody likes packing. I’m always afraid of forgetting this-very-imporatant-thing. For a long term trip, I look at every item and think “hey, couldn’t this be useful ?” – and then “hey, is this really THAT useful considering I’ll carry it for 6 MONTHS !?”. Especially for a trip such as Ludi Vojago, considering I also have to carry some rather unusual (and somehow heavy) stuff. So, how am I organized ?

The big backpack : here goes the heavy stuff

The main backpack is a 70+10L “Forclaz” from Decathlon. It is an old friend of mine, as I did almost all my trips with it.

It is also a heavy friend. Some travellers prefer 60 or even 40/50L backpacks to carry things as they are lighter, which counts a lot in these kind of trips. Also, 70L is an overkill for most trips as most usual things can fin into a decently-packed 50L. If you take more, it is probably unnecessary things.

…unless it’s a bunch of board games. You can see them in the bottom part of the backpack. I carry 12 games. Most of them are obviourly quite light (especially Tête de linotte and Pile poil) but bags tend to fill rather fast.

Plus, I’m carrying this.

SacsMateriel

So I believe this big backpack isn’t actually THAT big !

What’s inside the bag ? It’s rather usual actually : a sleeping bag, a mattress, a small pillow (this is actually luxury…), a survival blanket, a lock, a gourd (I dislike plastic bottles), some stuff to write, a mug, a knife, a fork, a small plate, a tupperware (if I manage to cook something – lots of money saved here !)…

The small bag for the clothes

This is a technique I’ve learnt from fellow travellers such as Ludovic Hubler (who hitchhiked around the world during 5 years and also created Travel with a mission) : carrying a second, small backpack in front of you. This lighter bag is used to carry light things such as clothes, as well as some things you’re glad you can access easily (i.e. my camera).

I’m taking a rather large amount of clothes to my tastes, but I prefer carrying more clothes and be absolutely sure of being CLEAN for my workshops for obvious reasons. I’m taking 2 T-shirts, 2 shirts, 2 trousers, 1 bermuda, 6 pants, 5 socks + 1 pair of heavy socks + 1 pair of Merinos socks, 1 light sweater, 1 swimsuit and my trusty heavy rainjacket (with a large sweater included).

What about extra material ?

I obviously can’t carry material for my whole trip. Fortunately, I have a very lovely and helpful mother back home who is eager to send me material packs during my trip. So I prepared some small packages ready to be sent, so I’m sure to have the right amount of material at every moment.

Matos

Work in progress (this picture misses the WINK games)

D-6 : Travel with a mission : the side (and awesome) quest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(No French version today, but if you wish to read something in French, you may have a look at the article about Ludi Vojago on the blog of Travel with a mission !)

Just a quick article today, not too related to Ludi Vojago itself, but to an awesome initiative : Travel with a mission.

What is it ?

Travelling can be great. If done properly, it allows people to discover new cultures, connect each other, share visions about life and so on. However, travellers sometimes feel like they could share more things, or to more people. Let’s say you are a Turkish fireman : you could share knowledge about your country, about firefighting, about first aid and so on. But how are you supposed to do that when you are just travelling from place to place ?

On the other hand, people in various contries are craving for people to come and bring meaningful knowledge to other people. Let’s say you are a teacher in Cambodia. You know people are coming from all around the world in your country. You’d like to invite them in your school to give a lecture about anything to your students, but you can’t really reach them !

The lack of way to connect travellers and structures together wastes a lot of potential mind-opening and discoveries. Fortunately, this is precisely what Travel with a mission is trying to do : connect travellers with a “mission” (or “TWAMers”) and people eager to give them a way to share their knowledge (or “TWAMhosts”).

How is connected to Ludi Vojago ?

Now, let’s say you are a Game designer trying to encourage the creation of multiple games all around Europe. Let’s say you’d like to work with several different structures and allow them to set up workshops on their own after your departure. Let’s say you are deeply convinced that creating games is a wonderful thing, very interesting and enlightening.

…see a pattern here ?

AureTwam

What will I do ?

During my trip, I’ll be at the same time a TWAMer and a TWAM ambassador. Being a Twamer means I’m going to use TWAM to contact Twamhosts on my way and work with them. But if there’s no Twamhosts in the vicinity, it might be simply because nobody has heard of Travel with a mission… which is where my Ambassador duty starts !

So I’ll try my best to allow people discover this not-well-enough-known community to improve it as much as I can.

By the way, I hope you guys have created you account on the website now ? Because we need you ! It’s simple to be a Twamer (you even can do a day or some hours it while on a summer trip) and a Twamhost – and if you don’t have access to any structure, feel free to tell your friends ! 🙂

D-7 / J-7 : Which way to share the project ? (comment partager le voyage ?)

(French version below – click here)

So that’s it. We are getting closer and closer to the departure. Almost 6 months on the road meeting people, animating workshops, discovering cultures, sleeping in random places, eating whatever I can, struggling to somehow speak English/German/Italian (so far, I can only say “I don’t eat meat because I’m vegetarian”)… you get the picture.

Right now, my “To-do” list is long and keeps getting longer. Actually, I think it can turn endless if I really try to take on everything – so I’ll rather discard most things and take some time to share this trip preparation with you guys. Sounds logical to you ?

Let’s quickly answer a crucial question : how am I going to share my trip and discovering while on the road ?

Board games and electronic devices

Let’s go back 15-20 years ago. Cell phones were a curiosity, Internet was slowly rising (in France, we mostly had 56kbps modem with limited connection time), but people were actually already travelling. Things were simple : if you wanted to call your family, you had to use a cabin phone of actual written mail. Nobody asked himself questions such as “should I take a laptop or a tablet ?” or “is my smartphone enough to share pictures on Facebook ?”. I like travelling unburdened. No longer than 3 years ago, I went on a hitchhiking trip around northern Europe with a non-smart cell phone and a small compact camera.

But today is a whole different story. Today, I want to share my trip with you guys. I will post some Facebook status from time to time, take and share some pictures/videos of the workshops, check incoming structures on the Internet. So I had to think a bit about my choices here. I’m still not used to mobile devices and I’m not sure my choices are the best ones. I’ll have to adapt.

Here are my device choices and why.

Samsung Galaxy Tab 3 10″ : versatile companion

I suppose tablets are “THE thing” nowadays in our countries, but I wasn’t really attracted by it. I’m a long-timer of classic PCs (thanks to my mother probably – I kinda felt in love with motherboards when she shew me how to dismantle & rebuild a computer when I was 8 years old) and I’m not super fond of tactile devices.

Still, I specifically bought a tablet for this trip. Why ? There’s actually 3 main reasons :

1) Weight and size

Man, those things are small. I can carry it in my small side bag and I (almost) don’t feel it. This is a major asset in a long term trip – travellers know what I mean. After some weeks of wandering around, every lost gram is very welcome. And I can carry more board game material !

2) Travel apps

This wasn’t my initial plan as I think everything is pretty much optional and can be found easily during the trip… but still, some apps are rather useful, such as city maps (if the tourist office is closed) and translators. I probably won’t use it much, but who knows.

3) Board games apps

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I guess this needs no further explainations. This is the main reason I bought a tablet…

I choose the Galaxy Tab 3 because I didn’t need anything with more performance. The 10″ are a great addition to be together around it. I’ll use it to update this blog, post statuts on social networks, upload pictures… I just have to learn how to type properly. I just have to find Wi-fi spots somewhere – cafés are nice places, maybe the home of some Couchsurfers. Oh, and it’s great to do some Skype calls. Hello mum, hello Stéphanie.

 

Sony Ericsson Xperia “Something”

I am actually still hesitating between a smartphone and a non-smart cell phone. So far, my thoughts led me to an old friend.

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This is actually my current phone. It’s 2 and a half years old and, I hope, counting. The protection has countless scratches and the phone sometimes randomly cuts communications. It also randomly reboots from time to time. The battery is getting weaker as time passes despite my battery saver app.

So, why do I take it ?

1) Because my tablet can’t handle What’sapp, and this app is pretty sweet when there’s Wi-fi around;

2) Because I don’t want to throw it away. What’s the deal with throwing things away those days ? This phone matches my needs (What’sapp, text messages, emergency calls, time  display, alarm clock, torch light), I just have to switch it off when I don’t use it to save battery.

Nikon Coolpix P520

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I won’t get into the details about how I chose this particular camera. In a nutshell, it can take pretty sweet pictures without extensive photography training (I don’t know much about how to use a camera) and can take good quality movies. This will probably be useful to share everything about the workshops.

I considered taking pictures/movies with my tablet to spare myself from re-adding the weight I suppressed by taking a tablet instead of a laptop. But unfortunately, the quality is simply not high enough to the standards I set to the project…

 


 

Le moment du départ approche de plus en plus. 6 mois sur les routes à rencontrer des gens, animer des ateliers, découvrir des cultures, dormir où je peux, manger ce que peux, parler du mieux que possible Anglais ou Allemand ou Italien (bien que je ne sache dire que “Je ne mange pas de viande car je suis végétarien” pour l’instant)… m’enfin vous voyez l’idée.

Pour l’instant, ma “To-do list” n’en finit pas de s’allonger. En fait, ce genre de liste a la capacité de s’agrandir à l’infini si l’on essaye de l’attaquer de font : plus l’on fait de choses, plus il y en a à faire. Alors je préfère en négliger une grande partie pour prendre le temps de partager la fin de ma préparation de voyage. La logique me semble imparable.

Attaquons alors une question non négligeable : quels dispositifs vais-je utiliser pour partager mon voyage tout en étant sur la route ?

Gadgets électroniques et jeux de plateau

Revenons 15-20 ans en arrière. Les téléphones portables étaient encore assez rares et la démocratisation d’Internet était dans ses balbutiements – rappelez vous des modems 56k avec un temps de connexion limité (genre 50h avec AOL ou Infonie). Pourtant, ça n’empêchait personne de voyager ! Un voyageur voulant joindre ses proches passait par une cabine téléphonique ou une lettre. Personne ne se posait des questions telles que “devrais-je prendre un ordinateur ou une tablette ?” ou “est-ce que mon smartphone est suffisant pour partager des photos via Facebook ?”. D’ailleurs, j’aime bien cette philosophie de ne pas se sentir enfermé par la technologie. A peine 3 ans auparavant, je voyageais autour de l’Europe avec un téléphone (pas “smart” !) et un petit appareil photo numérique.

Mais maintenant, les choses sont très différentes : je veux partager mon voyage avec vous tous. Je veux pouvoir poster des statuts Facebook, prendre des photos/vidéos et les partager rapidement avec vous, voir en amont dans quelles structures faire les ateliers etc… Alors j’ai du réfléchir un peu différemment pour déterminer les meilleurs choix possibles. Je ne suis pas du tout sûr de ce que je fais, mais je m’adapterais en fonction !

Voici donc mes choix.

Samsung Galaxy Tab 3 10″ : le couteau suisse

Il sembleraient que les tablettes soient des engins très à la mode ces dernières années, mais elles ne m’ont jamais vraiment attirées. Je suppose que cela est du à ma très longue utilisation de PC fixes, particulièrement depuis que ma mère en ait démonté un devant moi avant de me demander de le remonter. C’était il y a bientôt 20 ans je crois.

Pourtant, j’ai acheté une tablette spécifiquement pour ce voyage. Alors pourquoi ? Il y a 3 raisons principales.

1) Poids et taille

Ces engins sont vraiment compacts. Je peux transporter ma tablette dans ma sacoche sans la sentir (ou presque). C’est un avantage conséquent dans le cadre d’un long voyage – toute personne ayant transporté un sac de randonnée plus d’une semaine comprendra aisément de quoi je parle ! Chaque gramme gagné est le bienvenu, surtout pour Ludi Vojago : moins d’encombrement = plus de place pour du matériel de création…

2) Applications pratiques

Ce n’était pas vraiment prévu. Tout le contenu des applications de voyage peut être trouvé sans grande difficulté pendant un voyage… mais certaines restent quand même parfois pratiques, comme les cartes de villes (si l’office du tourisme est fermée) ou les dictionnaires. Je ne pense pas m’en servir intensément, mais qui sait…

3) Jeux de plateau portés numériquement

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Ais-je vraiment besoin de détailler ce point ? C’est la raison principale de mon achat en fait. Impossible de transporter Smallworld et Mr. Jack dans un sac !

J’ai opté pour la Galaxy Tab 3 parce que je n’avais pas besoin d’une tablette plus récente ou performante. Les 10″ sont utiles pour être plusieurs autour d’elle lors d’une partie. Je l’utiliserai pour faire à peu près tout : poster des statuts sur les réseaux sociaux, mettre à jour le blog, charger des photos… Je dois juste apprendre à taper correctement sur le clavier tactile et trouver des spots Wi-fi ! Beaucoup de découverte de cafés en perspective…

Ah, n’oublions pas qu’une tablette est bien pratique pour passer des appels Skype. Coucou maman, coucou Stéphanie.

Sony Ericsson Xperia “Quelque chose”

A l’heure actuelle, je suis toujours hésitant quant au choix du téléphone : smartphone ou téléphone classique ? Pour l’instant, mes raisonnements m’ont mené vers un vieux compagnon.

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En effet, il s’agit de mon smartphone actuel. Déjà âgé de 2 ans et demie, sa protection part complètement en lambeaux. Le téléphone coupe parfois en pleine communication, et d’autres fois, il redémarre aléatoirement. La batterie est de moins en moins résistante avec le temps, malgré une application destinée à l’économiser.

Alors… pourquoi le prendre ?

1) Parce que ma tablette n’est pas compatible avec What’s app, et que cette application est quand même bien pratique;

2) Parce que je ne vois pas l’intérêt de le jeter, ni d’en racheter un autre. Nous jetons beaucoup trop de choses beaucoup trop vite à mon goût. Ce téléphone a beau être assez peu pratique, il correspond à mes besoins : What’sapp, SMS, appels d’urgence, horloge et alarme, lampe torche. Il s’agit juste de l’éteindre pour économiser la batterie !

Nikon Coolpix P520

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Appareil compact ? Compact expert ? Hybride ? Reflex ? Bridge ? Beaucoup de possibilités. Je pensais m’orienter vers un compact expert tel que le Sony RX100, mais suite à une opportunité en magasin, j’ai finalement opté pour ce bridge. Assez compact, il prend de belles photos sans un besoin de connaissances précises en photographie (je n’y connais rien…), et peut aussi prendre de belles vidéos. Tout ce dont j’ai besoin pour vous partager le contenu des ateliers.

J’ai envisagé de prendre les photos/vidéos avec ma tablette, mais la qualité n’était vraiment pas suffisante à mon goût pour un partage via Internet !!

 

 

Workshop material : pawns, dices and Tout pour le jeu

Creating board games only requires some time, maybe some basic theories of board game design and a little material.

Most of this material can be made out scrap : take an old piece of cardboard and you have a board, draw some rectangles on a sheet of paper then cut it : you have cards… Most of the time, prototyping doesn’t require good-looking or fancy material, as you may throw away half of your creation to improve it anyway.

Ot at least in theory. There’s still a couple of problems :

– Some material, such as hourglasses and dices, can’t be easily made from scrap;

– Seeing some material can improve creativity by “triggering” something in one’s mind (ohh, I could use THAT !).

 

Fortunately, several companies are dedicated to create board game material, which is very handy for designers… and people animating board games creation workshops ! One of them is Tout pour le jeu, which means “Everything for games” in French. Based in the east of France, this company was kind enough to accept a simple partnership :

* They give me a hell lot of material I will carry during my trip

* In exchange, I allow people to discover their actually awesome selection of various pawns, dices, bags, hourglasses etc… via their official website or flyers I’ll give during my journey.

As for the carriage of this material, I’ll have a small pack in my bag during my trip, but most material will be sent from Frence by my greatest help : my mother ! 🙂